4 mai 2008
Il y a du soleil derrière les volets. Mais je
Il y a du soleil derrière les volets. Mais je préfère camper sous la chaleur de ma couverture, et compter les grains de sable... Et puis il y a un "éh ouai!", qui précède dans mon caberlot, un "40 déjà!". Les révoltes des sixties n'étaient que l'éloquence d'une crise de civilisation qui attend toujours quelques rapiéçures, des bricoles quoi, par-ci par-là... Mais bon, je ne m'appelle pas Morin.
Si proche, si loin...
photo:EvelinaHultqvist
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